jeudi 12 novembre 2015

Une bien belle analyse du roman

Critique de Chronique des jours de cendre publiée le 12 novembre 2015 
sur blog Le cercle des bouquineuses anonymes.

Je cite "la guerre n’est pas l’unique sujet. Qu’est-ce qui pousse tous ces personnages à agir ainsi ? L’esprit de vengeance ? L’aveuglement ? La détresse ? Ou tout simplement l’amour ? Car l’amour est présent partout, dans les yeux de Sohrab, dans les dessins de Naïm, dans les lettres de Niko… L’amour pour un amant, un frère, un père, une mère, ou pour sa patrie ou ses convictions.
L’auteure sait nous emmener en Irak où la mort est omniprésente, au milieu des décombres, de la poussière et de la chaleur étouffante. Il n’y a jamais de longueurs, ni de parti pris ou d’apitoiement. Chaque mot a sa place. Louise Caron écrit : « Ecrire, c’est un choix à faire entre cent, entre mille expressions. Elire dans l’infini des possibilités le mot-musique, le bon accord. Clair, le son d’une flute en cristal. » C’est réussi."
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